Être à 100 % sans se blesser
Pour être au sommet de votre forme tout l’été et passer de vraies vacances sportives, voici quelques conseils qui vous aideront à ne pas vous blesser.
Avec des muscles inférieurs au top
Pour les développer au maximum, une seule solution : le travail de fractionné. C’est la seule manière pour un coureur qui a déjà développé sa capacité d’endurance de progresser. Attention de ne pas en faire trop : une séance sur trois ou deux-trois séances sur cinq par semaine.
Avec un cœur à son maximum
Seule la pratique de la course loisir peut améliorer la fonction cardiaque. Le cœur se muscle avec un entraînement régulier. La course en compétition doit être parfaitement encadrée et faire l’objet d’un examen approfondi avec un médecin traitant et un cardiologue. Le cœur limite rarement le coureur, sauf celui ayant une pathologie cardiaque, mais là, pas question d’être à 100 %.
Avec des poumons bien exploités
Les capacités respiratoires peuvent s’améliorer avec un entraînement en milieu aquatique (mer ou piscine). On y synchronise mieux ses efforts et sa respiration tout en augmentant son volume respiratoire.
Avec une foulée optimisée
Ne négligez pas la technique de course. Mieux vaut avoir une foulée efficace qu’augmenter l’intensité de l’entraînement. L’objectif est d’accroître son rendement énergétique à l’effort. On l’atteint en variant les allures et les terrains (forêt, tapis, sable…).
À la montagne
En dessous de 2 000 m d’altitude et de quinze jours de stage, il semble y avoir peu d’intérêt à s’entraîner en hauteur. La tendance actuelle est de vivre en haut et de s’entraîner en bas. L’altitude n’est qu’un moyen d’entraînement supplémentaire que l’athlète peut utiliser quand il a déjà varié tous les exercices et exploité son corps à fond en plaine.
A la campagne ou près de la mer
Courir dans ces milieux permet surtout de varier les sorties et de les rendre ludiques. Sur sable ou en forêt, on améliore sa foulée, ses capacités d’adaptation et donc ses performances. Et on sollicite moins ses articulations.
En ville
Il est moins agréable de s’entraîner quand l’air est pollué, mais l’exercice est toujours bénéfique, à moins d’avoir des problèmes respiratoires ou cardiaques. Pour déjouer la pollution, entraînez-vous tôt le matin, quand il y a moins de véhicules et donc moins de particules nocives dans l’air. Evitez les moments où le taux de pollution atteint des sommets : en fin de matinée et en début de soirée. Et si l’indice de pollution de l’air est trop élevé, entraînez-vous en intérieur sur tapis roulant, vélo, vélo elliptique ou en salle de musculation.
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