Electrostimulation en récupération : 3 précautions
Plébiscitée en récupération à la maison, les impulsions électriques ont tout bon. À condition de bien les choisir et les utiliser. Pas pour tous Avant d’investir dans un appareil d’électrostimulation, vérifiez que vous ne présentez pas de contre-indications médicales à son utilisation (problèmes de peau, d’allergies, troubles de la coagulation, épilepsie, chimiothérapie, pacemaker…) et que vous en avez vraiment l’utilité. Si vous ne vous entraînez qu’une fois par semaine, vous pouvez récupérer seul. Inutile, donc, d’avoir recours à cette super technologie en revanche indispensable aux coureurs réguliers et intensifs pour drainer les toxines, ré-oxygéner le sang, réparer les fibres musculaires. Pas tous les appareils Pour être efficaces, il faut que les impulsions électriques soient ultra-précises, les programmes simplifiés, les électrodes de qualité… Mieux vaut, donc, investir dans une marque estampillée CE et médicalement approuvée (Compex, en récup et renforcement ; Veinoplus, uniquement en récup) incluant aussi des courants antalgiques (TENS) et un programme de massage/détente par capillarisation. Pas toutes les fréquences Les programmes simplifiés en intensité et durée limitent les erreurs de manipulation, et notamment l’utilisation de trop hautes fréquences, susceptibles de créer des lésions musculaires… Veillez toujours à ne pas vous tromper dans la polarité des électrodes (+ et -) et de ne jamais les appliquer sur le thorax. Enfin, sachez que l’idéal est d’utiliser l’électrostimulation sur un seul groupe musculaire à la fois (par exemple, les quadriceps, très sollicités en course) dans les trois heures qui suivent l’effort : plus vite le muscle est drainé, plus vite il récupère.
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