Soupe de runner : pas d’erreurs !
Quand la séance est frisquette, une bonne soupe ça réchauffe et, à priori, c’est gorgé de bonnes choses. Oui, mais …
…Pas avant l’entraînement
Ça va faire « floc floc » dans l’estomac et la haute teneur en fibres risque de provoquer accélération du transit et troubles intestinaux. Surtout avec une soupe industrielle fourmillant d’additifs et de légumes ni pelés ni épépinés. La soupe-running se déguste après la séance, le soir ou au bureau à la place du sandwich, avec un yaourt et un fruit.
…Limitée en lipides et glucides
Il faut laisser les légumes colorés dominer. Version maison, mollo sur les graisses et les pommes de terre qui, une fois mixées, voient leur Indice Glycémiques s’envoler. Version toute prête, ayez l’œil sur l’étiquette : moins de 2g de lipides et moins de 5g de glucides pour 100ml (ou 100g).
…Bio ou déshydratée selon l’effort
Préférez les soupes bios qui ont l’avantage de limiter les matières grasses, les additifs mais aussi le sel dont on ne devrait pas consommer plus de 5-6g/jr. Après une petite sortie, mieux vaut limiter l’apport en sel à 1g/100ml (=0,4g de sodium/100ml). Après une course longue ou un trail, aller au-delà permet de mieux compenser la forte perte hydrique et en sels. La soupe déshydratée prend alors l’avantage, de même que l’ajout d’un bouillon cube dans une soupe maison. Et celui d’un blanc de poulet ou d’un œuf pour restaurer la masse musculaire !
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