Cernay, premier marathon de l’année !
Le Marathon de Cernay-la-Ville, en plein cœur de la vallée de Chevreuse, en région parisienne, a pour habitude d’ouvrir le bal des 42,195 km français. Cette année encore, l’épreuve ne dérogera pas à la règle avec un rendez-vous fixé au 9 janvier.
Bonne nouvelle, le marathon de Cernay pourra bien avoir lieu ce dimanche 9 décembre. Trois courses sont programmées à l’occasion durant cette journée : un marathon, un semi et un 10km. 900 coureurs au total pourront prendre part à cette fête hivernale. « Nous avons dû limiter le nombre de coureurs en raison de l’épidémie », annonce Patrick Bonnot, à la tête de l’organisation.
Celui-ci a également dû mettre en place un protocole strict, avec port du masque sur de nombreuses zones (mais pas en course), pass sanitaire obligatoire et ravitaillement en eau uniquement. « Les coureurs ont été prévenus et ça n’a pas créé de problème. Tous sont d’abord contents de pouvoir courir« .
Après un mois de décembre qui a vu de très nombreuses épreuves s’annuler, comme la corrida de Houilles ou la corrida d’Issy-les-Moulineaux, c’est donc d’abord le soulagement qui règne ici.
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Un nouveau parcours
Pour cette nouvelle année, l’association Alti & Co, organisatrice de l’épreuve, a concocté un nouveau parcours qui aura l’avantage d’être moins éprouvant en fin de tracé et de permettre à plus de badauds d’encourager les coureurs.
Le peloton s’élancera ainsi toujours depuis Cernay pour rallier l’entrée du village de Bullion avant de remonter au point de départ via La Celles-les-Bordes, puis Saint-Robert, et terminer le premier semi à Cernay. Ensuite, les coureurs repartiront vers le nord pour rejoindre Auffargis, à quelques encablures des Essarts-le-Roi.
C’est ici que la donne change, puisque les participants aborderont le bois domanial des Cinq-Cents Arpents, qu’ils traverseront sur la piste cyclable. Le revêtement reste du bitume, mais le décor est on ne peut plus bucolique.
Entre-temps, chacun aura pu découvrir l’abbaye des Vaux-de-Cernay, cet ancien monastère datant du XIIe siècle. Une jolie balade hivernale en somme, où de nombreux coureurs viennent sans pression battre leur record personnel malgré un dénivelé positif de quelque 300 mètres.
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